La conjoncture en aviculture nationale |
L’aviculture nationale
a connu un développement très setenu lors de ces quatres derniers
années , alors depuis 2007 les investissements dans le secteur ont
fléchis d’une manière remarquable et ce grâce à la charte sanitaire
de la loi 49/99, certes depuis 2007 tous les professionnels sont
d’accord sur l’augmentation de la qualité des investissements et
l’orientation vers le professionnalisme ,mais le problème posé depuis
ce temps ;l’augmentation des prix de production et les fluctuations
incessants des prix de vente,
Petit à petit les éleveurs avicoles n’auront pas leurs place sur le marche nationale Selon les professionnels du secteur cette conjoncture difficile du sectrur est liée principalement à l’offre croissant de poussin d’un jour qui atteint plus de 7 millions poussin par semaine, et encore l’augmentation des prix de revient lié à la conjoncture mondiale où les cours de matières premières entrant dans la fabrication d’aliments composés sont en hausse,
En d’autre coté on
peut pas négliger la responsabilité des professionnels eux même
vis-à-vis de la crise du secteur avicole, où ils n’arrivent à
organiser le circuit de commercialisation des produits avicoles, ce
qui améne à des fluctuations incessants dans les prix de ventes. alors
les professionnels du secteur et surtout du filière chair seront dans
l'obligation de créer une instance pour la détermination des prix de
ventes et son rôle sera de collecter les informations concernant
l'offre et demande de manière à réguler le prix de vente et de le
garder au delà de prix de revient.
Point de vue de Mr Rachid ELYOUSSOUFI
Directeur Administratif et Financier, SUDAVI - PROMALI
En
effet la conjoncture est très mauvaises. C'est dû principalement au
surenchérissement des matières premières. Malheureusement il n'y a pas
de signes de retour à la normale dans le court terme. On espère une
correction des prix du maïs et du soja. Cependant ils sont liés à la
tendance du marché du pétrole qui dépend lui aussi du contexte
géopolitique. Les révolutions arabes n'arrangent pas les choses.
Dans le cas d'une baisse des prix des matières premières sur le marché international, il va falloir attendre que les provendiers épuisent leur stocks (3 mois minimum) pour pouvoir répercuter cette baisse sur le prix de vente d'aliment composé. Par ailleurs les prix de ventes du poulet de chair ne peuvent être corrigés que par la réduction de production des poussins chair d'un jour.
www.avicultureaumaroc.com
|
jeudi 3 mai 2012
CONJONCTURE
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire