jeudi 3 mai 2012

CONJONCTURE




La conjoncture en aviculture nationale


L’aviculture nationale a connu un développement très setenu  lors de ces quatres derniers années , alors depuis  2007 les investissements dans le secteur ont fléchis d’une manière remarquable et ce grâce à la charte sanitaire de la loi 49/99, certes depuis 2007 tous les professionnels sont d’accord sur l’augmentation de la qualité des investissements et l’orientation vers le professionnalisme ,mais le problème posé depuis ce temps ;l’augmentation des prix de production et les fluctuations incessants des prix de vente,
Petit à petit les éleveurs avicoles n’auront pas leurs place sur le marche nationale

Selon les professionnels du secteur cette conjoncture difficile du sectrur est liée principalement à l’offre croissant de poussin d’un jour qui atteint plus de 7 millions poussin par semaine, et encore l’augmentation des prix de revient lié à la conjoncture mondiale où les cours de matières premières entrant dans la fabrication d’aliments composés sont en hausse, 
En d’autre coté on peut pas négliger la responsabilité des professionnels eux même vis-à-vis de  la crise du secteur avicole, où ils n’arrivent à organiser le circuit de commercialisation des produits avicoles, ce qui améne à des fluctuations incessants dans les prix de ventes. alors les professionnels du secteur et surtout du filière chair seront dans l'obligation de créer une instance pour la détermination des prix de ventes et son rôle sera de collecter les informations concernant l'offre et demande de manière à réguler le prix de vente et de le garder au delà de prix de revient.
Point de vue de Mr Rachid ELYOUSSOUFI
Directeur Administratif et Financier, SUDAVI - PROMALI
En effet la conjoncture est très mauvaises. C'est dû principalement au surenchérissement des matières premières. Malheureusement il n'y a pas de signes de retour à la normale dans le court terme. On espère une correction des prix du maïs et du soja. Cependant ils sont liés à la tendance du marché du pétrole qui dépend lui aussi du contexte géopolitique. Les révolutions arabes n'arrangent pas les choses.

Dans le cas d'une baisse des prix des matières premières sur le marché international, il va falloir attendre que les provendiers épuisent leur stocks (3 mois minimum) pour pouvoir répercuter cette baisse sur le prix de vente d'aliment composé.

Par ailleurs les prix de ventes du poulet de chair ne peuvent être corrigés que par la réduction de production des poussins chair d'un jour.
www.avicultureaumaroc.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire